Depuis quinze ans, le quotidien numérique, composé de Palestiniens et d’Israéliens, propose une lecture indépendante du conflit. Depuis les massacres du 7 octobre et la riposte de l’Etat hébreu, ses reporters font partie des rares journalistes encore présents à Gaza. Leurs enquêtes dérangent un état-major israélien de plus en plus enclin à la censure.
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