Alors qu’un premier ministre de droite ose assumer, à rebours de son parti, une hausse d’impôt, il se fait vilipender par les macronistes amnésiques sur leur responsabilité et est menacé de censure par la gauche qui a pourtant réclamé plus de justice fiscale, note, dans sa chronique, Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».
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