Sous l’arc de Triomphe, à Paris, la flamme du soldat inconnu brûle depuis 1923. Mais à Gradignan, un siècle et un an plus tard, le «sursaut collectif» appelé de ses vœux par le premier ministre Michel Barnier lors des commémorations du 11 novembre, sonne bien creux. Il y a un mois, le monument aux morts de cette commune a été vandalisé. Les noms des soldats morts pour la France sous le drapeau ont été effacés de la stèle en pierre. À coups de marteau.
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