Au Liban, le lourd tribut des civils aux frappes israéliennes : « J’ai perdu mon épouse, mon fils, ma maison. Ma vie est brisée »

Mohamed Sabra, un chef d’entreprise de 40 ans, était chez lui en famille à Nabi Aïla, dans la plaine de la Bekaa, le 23 septembre, lorsque l’armée israélienne a bombardé son immeuble. Aujourd’hui, il ne lui reste plus que son fils aîné, 7 ans, grièvement blessé.

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