« Au Venezuela, comme ailleurs dans le monde, protester n’est pas un crime »

Si, à la suite de l’annonce des résultats donnant Nicolas Maduro vainqueur de l’élection présidentielle de juillet, l’attention médiatique s’est focalisée sur le sort des grandes figures de l’opposition vénézuélienne, de nombreux jeunes issus des quartiers populaires restent incarcérés pour avoir protesté lors de manifestations ou sur les réseaux sociaux, alerte, dans une tribune au « Monde », le politiste Thomas Posado.

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