« Barbès, little Algérie » : une peinture hyperréaliste d’un Barbès entre misère et solidarité populaire

Dans son premier long-métrage, Hassan Guerrar évoque sur le ton de la tragi-comédie un quartier de Paris auquel il est très attaché.

lemonde.fr

Lire l'article complet sur: lemonde.fr

Nouveaux articles