Si la dette budgétaire est aujourd’hui le dossier le plus urgent du nouveau gouvernement Barnier, le premier ministre affirme ne pas oublier la «dette écologique». «Une autre épée de Damoclès» au-dessus de nos têtes, a-t-il jugé mardi lors de son discours de politique générale à l’Assemblée nationale. Et celui-ci a trouvé un moyen de faire d’une pierre deux coups : le prochain budget de l’État, pour l’année 2025, qui sera présenté le 10 octobre, prévoit un durcissement de la fiscalité environnementale, en particulier sur les transports.
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