Enseignante universitaire d’origine libanaise, Marie Farhat vit aujourd’hui à Angers (Maine-et-Loire) loin de ses proches qui se trouvent à Byblos, au nord de Beyrouth. Une zone touchée récemment par des bombardements de l’armée israélienne. Un cauchemar pour la famille qui ne sent plus en sécurité et pour l’Angevine, qui vit suspendue à son téléphone.
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