«C'était sans doute présomptueux de ma part de vouloir sauver Camaïeu», reconnaît Michel Ohayon

«La boîte était mal en point [...]. Camaïeu, on n'a pu leur donner que deux ans de sursis», a regretté l’homme d’affaires, dans un entretien.

.lefigaro.fr

Lire l'article complet sur: lefigaro.fr

Nouveaux articles