« Du procès d’Aix de 1978 à celui des viols de Mazan, le courage des victimes de refuser le huis clos transforme la justice en puissant instrument de débat public »

Il serait incompréhensible que la démonstration pédagogique du procès des viols de Mazan ne débouche pas sur un plan, à visée législative, destiné non seulement à mieux caractériser le viol, mais aussi à s’attaquer aux racines du fléau, estime Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.

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