Du procès d’Aix, en 1978, à celui des viols de Mazan, « la honte a changé de camp »

Débutante au sein du cabinet de Gisèle Halimi, Agnès Fichot a été témoin des humiliations et des injures subies par les victimes de viols lors du procès historique d’Aix-en-Provence. Presque un demi-siècle plus tard, elle suit jour après jour celui de Mazan. Même si des progrès restent à faire, le regard sur les victimes a heureusement évolué, estime l’avocate féministe.

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