En 1968, près de Naples, naissait l’arte povera, un instant révolutionnaire et festif

Amalfi, octobre 1968. Le critique d’art italien Germano Celant convie au bord de la mer Méditerranée de jeunes artistes qui détonnent avec leurs œuvres en bois, en paille ou en toile. Leur travail, qu’il baptise « arte povera », casse tous les codes. Ces trois jours vont lancer la carrière de ces plasticiens auxquels la Bourse de commerce, à Paris, consacre une exposition.

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