Andrea Orcel, le patron de la seconde banque italienne, a prévenu, mercredi, qu’il se donnait un an pour décider de lancer, ou non, une OPA sur son rival allemand. Si cette union échouait pour des raisons politiques, ce serait un bien mauvais signal pour l’intégration bancaire européenne, estime Isabelle Chaperon, journaliste au « Monde ».
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