Faut-il rebaptiser les romans en « retex » ?

Depuis quelques années, les « retours d’expériences », déchirants ou factices, ont le vent en poupe, comme si le réel ne cessait de terrasser l’imagination dans l’esprit des écrivants. Mais on peut s’être cassé un ongle à l’adolescence et ne pas en faire un livre pour autant.

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