La capitale indienne New Delhi s'est réveillée vendredi 1er novembre dans un nuage de pollution au lendemain de Diwali, la fête des lumières hindoue, célébrée à grand renfort de pétards et de feux d'artifice. Ceux-ci ont pourtant été interdits, une mesure largement bafouée. Peu avant l'aube, les niveaux de polluants mesurés dans l'air ont atteint plus de 20 fois le seuil maximal de pollution quotidienne recommandé par l'OMS.
rfi.fr