Le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba a reconnu lundi 28 octobre la « défiance » et la « colère » des électeurs au lendemain de sa lourde défaite électorale, mais a exclu de démissionner. Arrivé au pouvoir le 1er octobre, il a opté pour promettre des « réformes fondamentales » au sein de son parti, le Parti libéral-démocrate (PLD), entaché par un vaste scandale financier.
rfi.fr