«Je ne sais même pas si nous pourrons revenir au village», le témoignage d’Ali, exilé du Sud-Liban

La maison familiale de ce chiite laïc opposé au Hezbollah a été détruite et il ne sait s’il pourra un jour revenir à Aitaroun, que les bombardements israéliens ont vidée de ses habitants.

.lefigaro.fr

Lire l'article complet sur: lefigaro.fr

Nouveaux articles