L’écrivain franco-algérien s’est vu décerné, le 4 novembre, le prix Goncourt pour son roman « Houris ». Son nom apparaît dans le quotidien le 6 février 2003, à la faveur d’une tribune tempérant l’allégresse de ce que le pays s’apprêtait alors à fêter : l’année culturelle de l’Algérie en France.
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