Sur les réseaux sociaux, Angelina affiche un quotidien de rêve : liasses de billets, marques de luxe et grosses voitures. En réalité, l’adolescente, petite main de la fauche dans les transports en commun parisiens, vit sous la coupe d’un clan d’origine bosniaque démantelé en mars. Au centre de ce système, des jeunes filles non scolarisées pour qui tenter de fuir n’est pas une option.
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