L’artiste Taysir Batnisi montre «200 clés de maisons de Palestiniens de Gaza» à la Biennale de Lyon

« J’étais pétrifié par l’angoisse ». À la Biennale internationale de Lyon, « Au cas où #2 » de Taysir Batnisi est la seule œuvre sur la guerre à Gaza. Aussi discret que son installation, l’artiste palestinien ausculte la tragédie en profondeur et avec poésie. En même temps, sa retenue laisse sentir d’autant plus sa révolte. Né en 1966 à Gaza, il vit et travaille depuis des décennies à Paris, mais reste viscéralement lié à sa ville de naissance où sa mère habite toujours. Entretien.

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