La garde à vue cette semaine du panafricaniste béninois Kemi Seba est due à des soupçons de «liens» avec le groupe paramilitaire russe Wagner, indique une source proche du dossier à l’AFP, confirmant une information de Mediapart. Kemi Seba avait été placé en garde à vue lundi 14 octobre à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) pour des soupçons d'ingérence étrangère. Il a été relâché mercredi sans poursuite à ce stade, mais les investigations se poursuivent. L'enquête ayant abouti à sa garde à vue a été lancée à «l'initiative de la DGSI», a précisé à l'AFP une autre source proche du dossier.
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