L’ex-«révolutionnaire» et militant propalestinien libanais Georges Ibrahim Abdallah, condamné à la perpétuité en 1987 pour complicité dans l’assassinat de deux diplomates, va être libéré alors qu’il a passé plus de la moitié de sa vie en prison. «Je suis un combattant, pas un criminel», a toujours martelé cet homme au regard clair et à la barbe drue, qui a demandé pour la 11e fois sa libération, demande sur laquelle la justice s’est prononcée ce vendredi 15 novembre.
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