Au Sénégal, la tension est montée d’un cran hier, à cinq jours de la tenue d’élections legislatives ce dimanche. Après de nouveaux accrochages violents entre militants du parti au pouvoir Pastef et ceux de la coalition d’opposition Sam Sa Kaddu, le premier ministre Ousmane Sonko, qui avait enjoint dans un premier temps ses sympathisants à riposter à d’éventuelles attaques, n'appelle plus à la vengeance.
rfi.fr