RÉCIT - Au nord de Sfax, plus de 50.000 migrants subsahariens campent dans l’attente d’une traversée vers l’Europe. Vivant comme des bêtes à l’ombre des oliviers, à la merci des passeurs tunisiens et des assauts de la Garde nationale financée par la Commission européenne, ils se sentent pris au piège. Certains souhaiteraient même rentrer chez eux.
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