Dans un communiqué publié mardi 14 mai, l’influente conférence des évêques de Madagascar s’est insurgée contre la loi autorisant une peine de castration chirurgicale pour les violeurs d’enfants. Une loi défendue par le président Andry Rajoelina comme une mesure choc. Sur la scène malgache, l’Église catholique devient le premier acteur institutionnel à dénoncer ouvertement cette mesure.
rfi.fr