Marie Vingtras : « On fait culpabiliser les petites filles très tôt, dès qu’il faut escalader un mur et qu’on risque de montrer sa culotte »

L’autrice, qui emprunte son nom de plume à Arthur Vingtras pseudonyme de la journaliste féministe Séverine, poursuit dans son deuxième roman « les Ames féroces »couronné du prix Fnac, l’exploration de l’ambivalence et de la culpabilité.

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