Au Niger, le 29 juillet dernier, la justice ordonnait la remise en liberté provisoire de quatre anciens ministres du président renversé Mohamed Bazoum. Arrêtés après le coup d'État du 26 juillet, tous les quatre sont poursuivis pour « atteinte à la sécurité nationale » et « crime de trahison ». Trois mois après cette décision de la justice nigérienne, aucun d'entre eux n'a finalement été libéré.
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