L'armée s'est donc déployée en Nouvelle-Calédonie, où trois nuits d'émeutes qui ont fait quatre morts dont un gendarme, ont plongé ce territoire français du Pacifique sud dans une vaste crise sécuritaire, identitaire et politique, sur fond de révolte contre une réforme électorale controversée. Des renforts sont arrivés de métropole. Il y a désormais sur place, 2 300 policiers, gendarmes et militaires.
rfi.fr