La diffusion d’images retrouvées sur l’ordinateur de l’ex-mari de Gisèle, qui la droguait pour la violer et la faire violer par des inconnus en filmant, se fera « à la demande d’une ou plusieurs parties » au procès et en l’absence du public et de la presse, a décidé vendredi le président de la cour, contre l’avis de la principale victime.
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