La diffusion de photos et de vidéos mettant en cause les accusés du procès des viols de Mazan se fera « à la demande d’une ou plusieurs parties » et en l’absence du public et de la presse, a décidé ce vendredi 20 septembre le président de la cour. « Il faut qu’on ait le courage de se confronter à ce qu’est véritablement un viol » dans un procès qui « doit changer la société », a regretté de son côté, l’un des avocats de Gisèle Pelicot.
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