«Ce réquisitoire est révoltant, profondément outrancier». Marine Le Pen a réagi ce vendredi 15 novembre, deux jours après les réquisitions prononcées à son encontre dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national). Un réquisitoire qui «réclame des condamnations sans commune mesure avec le moindre réquisitoire de même type, allant jusqu'à demander la peine de mort politique avec exécution provisoire contre moi».
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