Elles vivaient à une dizaine de kilomètres l’une de l’autre avant la guerre, séparées par un mur : Tala, une Palestinienne de Gaza City, et Michelle, une Israélienne de Sdérot. Les deux étudiantes en droit, déplacées par le conflit, ont accepté de converser. Dans cette lettre, Tala raconte à Michelle la douleur de son exil infini. L’écriture est devenue son moyen de résister.
nouvelobs.com