Survol de zones de guerre: «Le risque existe surtout quand l'avion de ligne est à moins de 1500 mètres d'altitude»

Le conflit entre Israël et le Hezbollah au Liban a poussé les compagnies aériennes à arrêter de desservir l'aéroport de Beyrouth. Faut-il craindre pour la sécurité des vols internationaux, alors que des pilotes d'Air France ont vu, en survolant l'Irak, des missiles balistiques tirés depuis l'Iran ? Bertrand Vilmer, ancien pilote d'essai expérimental et expert des accidents aériens auprès de la cour d'appel de Paris et de la Cour de cassation, répond à RFI.

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