Chez lui, l’œil dépasse les frontières, peut-être, parce qu’il est né et vit toujours au bord de la mer, dans le sud de l’Iran. À l’occasion d’une exposition à la galerie 20Thorigny, à Paris, où Morteza Niknahad montre l’incroyable puissance narrative de ses deux séries « Big Fish » et « Beyond The Seas », le photographe révèle à RFI aussi sa série toujours en cours sur l’histoire cachée des Noirs en Iran, « The Black Wind ». Entretien sur une œuvre énigmatique, aventureuse et magistrale.
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